Zora C. UNDER_CONSTRUCTION*

Citation :

CARTE D'IDENTITÉ, SVP

CARACTÈRE: Zora est le genre de femmes très pensives. Tout le temps la tête dans la nuages à penser. C'est un défaut et une qualité. Elle s'évade de la réalité en ne pensant qu'à ce qui lui plait, à de nouvelles idées. Mais cela lui pose aussi problème, surtout à son travail. Zora est très ordonnée, tout est toujours bien ranger chez elle et bien classer. Elle n'aime pas particulièrement l'ordre mais elle a tendance à être très vite dépasser quand tout déborde. Malgré son physique plutôt avantageux, Zora n'est pas sûre d'elle. Elle est pourtant mise en avant par son père depuis son plus age, mais elle est incapable de trouver une grande confiance en elle et panique très vite. Dans ce genre de moment, elle devient maladroite et perd ses mots. En dehors de ça, c'est une fille pleine de vie et d'idée que l'ont fait rire très facilement. Elle aime faire plaisir aux gens qu'elle aime. Elle est facile à vivre et garde ce qu'elle pense pour elle.

HISTOIRE:
"Bonjour Zora"
A la maternité de San Diego, cette matinée de printemps était le jour le plus intense de la vie de Mary Ann Sparrow. Alors qu'elle était en sueur, pleurant sur la table d'accouchement, elle voyait ses rêves de devenir l'une des meilleures peintres de sa génération s'envoler en fumée. Elle le savait, Mary Ann savait déjà que la naissance de son enfant allait changer sa vie. Que tout allait être différent.
En dehors de la salle attendait Sam, Samuel Campbell, un jeune soldat engagé dans l'armée depuis peu. Il était fou amoureux de Mary Ann mais l'idée d'avoir un enfant, maintenant, à cet instant, n'était vraiment pas ce qu'il désirait. Après tout il n'était qu'un garçon de 23 ans, il avait encore toute la vie devant lui.
Il est 11h27 et nous sommes le 16 mai 1987, l'infirmière posa entre les bras de la jeune mère, si fatiguée, son enfant.
Celle-ci ajouta calmement, les larmes aux yeux et le sourire aux lèvres "Bonjour Zora".

"Il ne viendra pas, c'est ça?!"
La chambre est silencieuse. Il n'y aucun bruit si ce n'est celui d'une respiration. Une respiration régulière est calme. Rien ne pouvait perturber ce calme si intense et rare. Sur le lit, une jeune femme allongée, la tête sur un oreiller. Elle dort paisiblement. Zora fête, aujourd'hui même, ses 16 ans. Elle s'imaginait déjà la veille, " ce sera une journée idéale". Pourtant à 10h43, son souffle est coupé. Elle se réveille en sursaut avec un coussin qui lui recouvre le visage. Pour se défendre elle éjecte son agresseur hors du lit. Ce ne fut pas une affaire très difficile.
"Gaby, sort de ma chambre!"
Une petite fille brune sauta sur le lit et prit sa grande sœur tendrement dans ses bras en lui souhaitant de tout cœur "joyeux anniversaire". L'agacement de Zora pour sa petite sœur de 10 ans Gabrielle s'évapora instantanément et l'adolescente serra fort sa sœur dans ses bras.
Zora et Gaby s'empressèrent de descendre à la cuisine pour prendre leur petit déjeuner. La petite Gabrielle fonça sur sa mère pour l'embrasser et alla s'asseoir rapidement à sa place, n'attendant que ses pan cakes. Zora s'adossa au frigo et perdu son sourire. Sa mère lui tendit une lettre. Zore leva les yeux aux ciel. Elle ne voulait pas s'énerver aujourd'hui. Pourtant la colère la prenait quand même. "Il ne viendra pas, c'est ça?!" Mary Ann hocha la tête de gauche à droite, vraiment déçue. Zora avança jusqu'à la table, prit la lettre et la balança en donnant un coup dans la bouteille de lait. Ne se retournant même pas, elle couru jusqu'à sa chambre, pour se changer les idées ou alors ruminer.
La bouteille de lait ne s'était pas casser aujourd'hui, Mary Ann l'avait rattrapé bien avant qu'elle n'est pu plonger.

"..."
Un mois plus tard, il devait être environ 21h30, un sourire apparu aux lèvres de Mary Ann. La petite Gabrielle ne dormant toujours pas passionnée par le film du soir et Zora plongée dans l'histoire d'amours des deux héros. La porte s'ouvrit légèrement. Gaby, tourna la tête, un peu paniquée vers sa mère quand tout à coup la lumière du salon s'alluma. Les trois filles se retournèrent en même temps et la petite Gabrielle couru jusqu'au cou de son papa pour le couvrir de baiser. Mary Ann enlaça son mari. Zora elle se leva et le regarda dans les yeux, attristée.
"Enfin embrasse-moi Zora!" se lamenta Samuel.
Zora n'en fit rien et s'empressa de monter les escaliers, son père lui courut

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ME, MYSELF & I!